vendredi, 24 mars 2023

Flan de pois chiches et mes petits plats coréens

La cuisine coréenne, vous connaissez ?
La cuisine coréenne, l’OMS (l’organisation mondiale de la santé), l’a qualifiée de cuisine exemplaire en 
2004. Rendez-vous compte, c'est un mode alimentaire très sain, une nourriture variée riche en fibres et en produits fermentés. La fermentation augmente la valeur nutritionnelle de certains aliments et 
multiplie parfois même par 10 les vitamines et les antioxydants contenus dans ces aliments ! 
Toujours grâce à la fermentation, certaines substances néfastes à la santé disparaissent carrément et 
on digère plus facilement. Vive la fermentation ! 발효 만세 comme les Coréens disent.
Les coréens mangent beaucoup de légumes, peu de viande, ils trouvent les protéines dans le poisson et des fruits de mer. En respectant un ratio de 80/20, 80% d'aliments d'origine végétale, légumes, céréales, algues de fruits et 20% d'aliments d'origine animale, viande, poissons, crustacés, leur cuisine 
est donc exemplaire.
A tous les repas, les Coréens mangent du riz. Ce riz, ils l’accompagnent de banchan (le banchan le plus connu est bien évidemment le kimchi). Les banchan sont des p’tites préparations qui peuvent se 
trouver en nombre sur la table et qui se conservent bien plusieurs jours au frais, voire plusieurs mois. 
A tous les repas ils piochent dans leurs kimchi faits-maison. Le kimchi, le symbole de la Corée ! 
Avec plus de 200 façons de préparer les légumes dans la saumure, ils ne sont pas prêts de se lasser dece sirop-typhon de kimchi.
Très souvent les Coréens mangent des soupes, des soupes de légumes, avec des fruits de mer, du tofu,
de la viande parfois et ils y mettent souvent des pâtes ou des vermicelles…
Moins souvent les coréens mangent de la viande. Elle n’est là que pour accompagner le riz. 
Dans l’assiette des Coréens, on trouve aussi des champignons, du soja, des algues, du ….
La Cocotte ne va pas tout vous dire, elle vous laisse découvrir « mes petits plats coréens », un beau livre édité par Larousse.
Elle vous laisse saliver à la lecture de ses belles recettes simplement tentantes et à la vue de ses belles 
illustrations. 
Avec ce livre, découvrez ce qu’ils font avec le doenjang, le daïkon, l’enoki, le bambou… Apprenez ce qui se cache derrière bap, kimbap ou bibimbap… Sachez reconnaître l’omija, le jujube, le kaki…
Répétez après la Cocotte tous ces mots nouveaux : chunjang, naengmyeon, soegogi muguk…
Et ne faites plus cette tête d’ahuri quand on vous présentera des mandu guk, des jjimdak, ou pire encore des cheongpomuk muchim…
15 euros 95 pour une belle balade en Corée, franchement, c’est donné !
Mes petits plats coréens de So-Yeon Lee aux éditons Larousse

flan de pois chiches,la cocotte,la voix du nord

Pour 6 personnes

300 g de farine de pois chiches, 600 ml d’eau, 2 œufs, 50 ml d’huile d’olive, 100 g de fromage blanc, cumin et coriandre en poudre, sel, 1 yaourt nature, un peu de harissa
Préparation : 15 min – Cuisson : 30 min – Coût : * - Difficulté : * - Ustensiles : fouet, papier-cuisson et plat à gratin de 20 cm environ de côté

flan de pois chiches,la cocotte,la voix du nord

Progression : Préchauffez le four à 200 °C. Dans un plat creux mélangez farine et eau avec un fouet. Ajoutez le fromage blanc, les œufs, l’huile d’olive et ½ cuillère à café de chacune des épices citées. Salez et mélangez vigoureusement. Déposez la feuille de papier-cuisson dans le petit plat à gratin et versez la préparation à la farine de pois chiches. Versez un petit filet d’huile d’olive sur le flan et enfournez pour 30 minutes. Laissez le flan refroidir à la sortie du four et coupez le flan en petits carrés de 3 cm.
Dressage : A l’entrée ou l’apéritif, accompagnez ce flan d’une sauce au yaourt et harissa.  

Flan de pois chiches et mes petites plats coréens

La cuisine coréenne, vous connaissez ?  
La cuisine coréenne, l’OMS (l’organisation mondiale de la santé), l’a qualifiée de cuisine exemplaire en 2004. Rendez-vous compte, c'est un mode alimentaire très sain, une nourriture variée riche en fibres et en produits fermentés. La fermentation augmente la valeur nutritionnelle de certains aliments et multiplie parfois même par 10 les vitamines et les antioxydants contenus dans ces aliments ! 
Toujours grâce à la fermentation, certaines substances néfastes à la santé disparaissent carrément et on digère plus facilement. Vive la fermentation !  발효 만세 comme les Coréens disent.
Les coréens mangent beaucoup de légumes, peu de viande, ils trouvent les protéines dans le poisson et des fruits de mer. En respectant un ratio de 80/20, 80% d'aliments d'origine végétale, légumes, céréales, algues de fruits et 20% d'aliments d'origine animale, viande, poissons, crustacés, leur cuisine est donc exemplaire. 
A tous les repas, les Coréens mangent du riz. Ce riz, ils l’accompagnent de banchan (le banchan le plus connu est bien évidemment le kimchi). Les banchan sont des p’tites préparations qui peuvent se trouver en nombre sur la table et qui se conservent bien plusieurs jours au frais, voire plusieurs mois. 
A tous les repas ils piochent dans leurs kimchi faits-maison. Le kimchi, le symbole de la Corée ! 
Avec plus de 200 façons de préparer les légumes dans la saumure, ils ne sont pas prêts de se lasser de ce sirop-typhon de kimchi.
Très souvent les Coréens mangent des soupes, des soupes de légumes, avec des fruits de mer, du tofu, de la viande parfois et ils y mettent souvent des pâtes ou des vermicelles…
Moins souvent les coréens mangent de la viande. Elle n’est là que pour accompagner le riz. 
Dans l’assiette des Coréens, on trouve aussi des champignons, du soja, des algues, du ….
La Cocotte ne va pas tout vous dire, elle vous laisse découvrir « mes petits plats coréens », un beau livre édité par Larousse.
Elle vous laisse saliver à la lecture de ses belles recettes simplement tentantes et à la vue de ses belles illustrations. 
Avec ce livre, découvrez ce qu’ils font avec le doenjang, le daïkon, l’enoki, le bambou… Apprenez ce qui se cache derrière bap, kimbap ou bibimbap… Sachez reconnaître l’omija, le jujube, le kaki…
Répétez après la Cocotte tous ces mots nouveaux : chunjang, naengmyeon, soegogi muguk…
Et ne faites plus cette tête d’ahuri quand on vous présentera des mandu guk, DES jjimdak, ou pire encore des cheongpomuk muchim…
15 euros 95 pour une belle balade en Corée, franchement, c’est donné !
Mes petits plats coréens de So-Yeon Lee aux éditons Larousse

flan de pois chiches,la cocotte,la voix du nord,mes petites recettes coréennes,larousse

En attendant de vous acheter ce beau livre, une petite recette de pois chiches. 

Pour 6 personnes
300 g de farine de pois chiches, 600 ml d’eau, 2 œufs, 50 ml d’huile d’olive, 100 g de fromage blanc, cumin et coriandre en poudre, sel, 1 yaourt nature, un peu de harissa
Préparation : 15 min – Cuisson : 30 min – Coût : * - Difficulté : * - Ustensiles : fouet, papier-cuis
son et plat à gratin de 20 cm environ de côté

flan de pois chiches,la cocotte,la voix du nord,mes petites recettes coréennes,larousse

Progression : Préchauffez le four à 200 °C. Dans un plat creux mélangez farine et eau avec un fouet. Ajoutez le fromage blanc, les œufs, l’huile d’olive et ½ cuillère à café de chacune des épices citées. Salez et mélangez vigoureusement. Déposez la feuille de papier-cuisson dans le petit plat à gratin et versez la préparation à la farine de pois chiches. Versez un petit filet d’huile d’olive sur le flan et enfournez pour 30 minutes. Laissez le flan refroidir à la sortie du four et coupez le flan en petits carrés de 3 cm.
Dressage : A l’entrée ou l’apéritif, accompagnez ce flan d’une sauce au yaourt et harissa.